Jardin Stern

Flânerie au coeur du quartier Montretout/Coutureau

Distance : 1.8 KM

Durée : 1H30

Lieu : Montretout / Coutureau

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Fière de son histoire et de son patrimoine, la municipalité de Saint-Cloud vous invite à flâner dans les rues de la commune en publiant cinq livrets qui vous feront découvrir le patrimoine historique, artistique et architectural des différents quartiers de Saint-Cloud. Le passionné de patrimoine ou l’amateur de belles promenades pourra cheminer, de manière autonome, à l’aide de ce dépliant, en suivant les points numérotés sur le plan (au verso) qui indique les lieux emblématiques de la ville. Partez à la découverte des vestiges, des sites classés ou remarquables qui vous révèleront la richesse de Saint-Cloud. Son histoire commence il y a plus de 2000 ans lorsque la ville n’était encore qu’une simple bourgade gallo-romaine appelée Novigentum. Le nom Montretout viendrait de l’incroyable vue surplombant Paris offerte au sommet de ce quartier. Autrefois, le plateau de Montretout était recouvert de champs où les paysans cultivaient vignes et céréales. À la fin du XIXe siècle, de nouvelles constructions apparaissent et le quartier perd son caractère rural. Ce parcours débute en haut de la gare, dans l’avenue Pozzo-di-Borgo. Celle-ci rappelle la présence du château de Montretout qui dominait autrefois ce quartier. C’est le comte Charles-Jérôme Pozzo di Borgo qui acquiert ce domaine vers 1841. Le château souffre de la guerre de 1870 mais, dès 1871, le propriétaire entreprend de le restaurer. Cependant, en 1896, le duc Pozzo di Borgo transfère le château de Montretout dans son domaine de Dangu (Eure). Le terrain est alors vendu et morcelé. Aujourd’hui, de très belles demeures bordent cette rue.

Les noms des trois rues alentour (Pozzo-di- Borgo, Crillon et Montesquiou) sont donnés par le comte Jérôme Pozzo di Borgo, en 1897, lorsqu’il décide de lotir sa propriété après avoir déplacé le château de Montretout à Dangu dans l’Eure. De cette façon, ce dernier rend hommage à son épouse Aline de Montesquiou-Fezensac (1837-1885), mais aussi à Valentine de Crillon (1813- 1890), épouse de Charles-Jérôme Pozzo di Borgo, l’acquéreur du château de Montretout.

Marchez jusqu’au n°7 de l’avenue Pozzodi-Borgo

Jardin Stern

Cette imposante villa a été construite en 1919 par l’architecte Georges Benezech (1882-1949). Le style brique et pierre de cet immeuble s’allie au style néogothique monumental. Ce terrain faisait partie de l’ancien parc du château de Montretout.

Cette propriété est agrémentée du célèbre jardin Stern, l’un des derniers jardins des années trente à Saint-Cloud, conçu par le paysagiste Jean-Claude-Nicolas Forestier (1861-1930). En 1925, attiré par la magnifique vue sur Paris qu’offre la propriété, le banquier Jacques Stern achète cette maison et le terrain 1- Jardin Stern 7-9, avenue Pozzo-di-Borgo contigu, pour sa fille Alice, artiste-peintre, qui y restera jusqu’en 1949.

Handicapée moteur, celle-ci se déplace en fauteuil roulant. Elle demande à l’architecte de remodeler le jardin très dénivelé en un jardin horizontal dans lequel elle pourrait circuler aisément. Pour cela, il réalise d’importants travaux de terrassement. Deux allées parallèles en pente douce mènent au fond du jardin, recoupées par deux allées longitudinales. Le jardin suspendu est entièrement ouvert sur la ville.

Pour Forestier, il doit être un lieu de repos tout en conservant la vue sur le paysage urbain environnant. Le jardin est agréé par les associations La Demeure Historique et Les Vieilles Maisons Françaises et il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 14 septembre 2006. Vous pouvez le visiter lors des Journées européennes du patrimoine.

Pôle métier du livre

Le Pôle Métiers du livre regroupe depuis 1999 à Saint-Cloud les formations proposées par l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense dans les domaines des métiers du livre, de l’édition, de la librairie, des bibliothèques, de la documentation, de l’image, de l’audiovisuel et du multimédia. Le bâtiment a été construit en 1998 par Jean- François Laurent. Cet architecte a joué sur les matériaux en utilisant le béton, le verre, le métal et le bois mais aussi sur les volumes et l’éclairage au sein du bâtiment. Un joli jardin intérieur est apprécié des étudiants.

Tournez à droite pour prendre la rue de Crillon.

Villa Hemsy

La villa Hemsy est très peu visible depuis le trottoir mais constitue l’une des plus remarquables maisons de Saint-Cloud. Son nom vient du commanditaire, qui s’appelait « monsieur Hemsy ». Elle est l’oeuvre de l’architecte Hector Guimard (1867-1942), représentant de l’Art nouveau en France et célèbre pour ses entrées du métro parisien. Construite en 1913, la maison est faite de pierre meulière et de brique de couleur claire. Elle présente une asymétrie, comme la plupart des villas de l’architecte.

Cependant, l’ensemble apparaît parfaitement harmonieux. La façade se présente en trois plans : à gauche, l’entrée sous couvert de longerons en bois rappelle le “Chalet blanc” construit par Hector Guimard à Sceaux ; la partie centrale s’avance comme l’étrave d’un navire composée de cinq fenêtres : trois au rezde- chaussée, deux au premier, une sous les combles. La partie droite à deux étages est surmontée d’un appentis qui ouvre par une double fenêtre posée en retrait. L’extérieur de l’édifice n’est pas caractérisé par le style Art nouveau.

Les décors de céramique et de ferronnerie représentant des arabesques fleuries, utilisés abondamment par Hector Guimard dans ses projets, ont laissé la place, ici, à un décor simple de pavements en brique et de menuiseries en bois. Néanmoins, l’esthétique Art nouveau se retrouve à l’intérieur : « La porte d’entrée est surprenante et belle avec ses six motifs ciselés dans le bois, dessinés à la manière des lettrines des livres d’heures. L’escalier demeure lui aussi dans la tradition des huchiers gothiques, avec la rampe d’escalier et les motifs de départ qui simulent une pièce de tissu. » La partie centrale est couronnée d’un toit conique. Sur cette façade se trouve un balcon au niveau des combles. Le reste de la villa est surplombé d’un toit à longs pans.

Remontez la rue de Crillon puis tournez à gauche sur la rue de Montesquiou.

Villa Mirande

En 1922, le directeur du Théâtre du Palais- Royal, Gustave Quinson, commande à la Compagnie des arts français une villa pour son ami, le dramaturge et metteur en scène de cinéma Yves Mirande (1875-1957). La maison, réalisée sur les plans de l’architecte Louis Süe (1875-1968), est achevée en 1924. La décoration est confiée au peintre André Mare, au ferronnier Richard- Georges Desvallières et à l’architecte-paysagiste Paul Vera. Néanmoins, Yves Mirande ne s’y installe jamais véritablement.

Gustave Quinson, qui louait la villa à l’industriel Émile Sabatier, lui vend en 1928. Celui-ci fait également appel à la Compagnie des arts français pour l’aménagement intérieur, qui est conçu de 1928 à 1931. La propriété en forme de L est située sur un terrain dénivelé. Louis Süe choisit d’implanter la maison en haut de la pente, sur une plateforme artificielle, afin de pouvoir aménager un jardin bénéficiant d’une vue dégagée. La maison, qui apparaît étroite du côté de la rue, s’étend, en réalité, sur une grande longueur à l’arrière. La plupart des pièces ouvrent sur les jardins et les principales sont orientées vers le sud.

Les façades de la villa sont caractérisées par leur sobriété : réalisées en maçonnerie ordinaire de meulières, enduites et repeintes en blanc, elles sont simplement décorées de niches et de mascarons. Les seuils, les appuis de fenêtre et les escaliers sont en pierre. Néanmoins, l’orientation de la villa est légèrement désaxée, ce qui engendre une distribution originale : les pièces sont disposées de façon à améliorer la circulation intérieure et orientées en fonction de la doctrine hygiéniste de Louis Süe. En outre, la charpente en béton, le toit terrasse, la volumétrie cubique et l’ordonnancement asymétrique témoignent d’une volonté de s’inscrire dans ce mouvement artistique moderne Art déco.

Continuez la rue de Montesquiou puis tournez à droite sur le boulevard de la République.

Jean Chièze

Une plaque en hommage à Jean Chièze a été posée en 1980 sur la façade du bâtiment : « Jean Chièze (1898-1975), un des rénovateurs de la gravure sur bois réalisa dans cette maison l’essentiel de son oeuvre de 1939 à 1970 ».

Né à Valence en 1898, Jean Chièze est considéré aujourd’hui comme l’un des maîtres de l’École française de la xylographie au XXe siècle. Il étudie à l’École nationale des Beaux-Arts de Lyon, où l’enseignement d’Henri Focillon le marque particulièrement. En 1923, il obtient son certificat d’aptitude à l’enseignement du dessin ; c’est ainsi qu’il vient enseigner à Saint-Cloud de 1939 à 1963. Il s’installe d’abord dans un appartement rue Coutureau avant d’emménager au 70, boulevard de la République sous l’Occupation.

C’est là qu’il aménage son atelier et qu’il aime accueillir ses amis et ses anciens élèves. L’un d’eux, André Boucher, témoigne : « Dans l’atelier se trouve la petite table de travail, calée contre la fenêtre, audessus de la courbe du boulevard de la République, face au nord, à cause de la lumière. » À partir de 1923, il se consacre également à la gravure sur bois. Il a laissé une oeuvre abondante d’environ 200 estampes, 300 ex-libris et des illustrations pour de nombreux livres comme L’Éloge de la folie d’Erasme ou encore Les Histoires d’Edgar Poe. Il a remis à l’honneur la xylographie, procédé de gravure sur bois en relief utilisée par Dürer et Holbein. Membre du Comité national de la gravure française dès 1946, il a exposé ses oeuvres autant à Los Angeles, Varsovie ou Bruxelles qu’au Salon annuel des artistes clodoaldiens.

Reconnu comme un maître dans son art, il reçoit deux médailles d’or et une d’argent à l’Exposition internationale des Arts et Techniques de Paris en 1937. Une Association Jean Chièze a été fondée en 1976 afin de faire connaître l’oeuvre de l’artiste, mais aussi de faire vivre la gravure sur bois contemporaine. Le musée des Avelines conserve un fonds très important de ce graveur grâce, en particulier, à la donation de l’Association Jean Chièze en 2011.

 

 Carrefour entre le boulevard de la République et la rue de Montretout.

Monument aux morts

En face de la maison où a vécu Jean Chièze, se trouve un monument aux morts qui rend hommage aux soldats tués au cours de la guerre franco-prussienne de 1870. Celuici est inauguré en présence du comité des tirailleurs des Ternes le 7 octobre 1877. Ce monument commémoratif est l’oeuvre de l’architecte Dobiecki, secrétaire-trésorier du comité des tirailleurs des Ternes. Vous pourrez lire sur le bloc de granit : « Passant, souviens toi ! ».

En effet, il est important de se souvenir de cette page de l’histoire car Saint-Cloud a particulièrement souffert de la guerre de 1870, le château et la ville ayant été détruits dans leur quasi- totalité. Le palais de Saint-Cloud brûle le 13 octobre 1870 suite au tir, depuis le Mont Valérien, d’un obus français destiné à des batteries prussiennes établies dans le parc mais qui éclate dans la chambre de l’Empereur, provoquant un gigantesque incendie. Quant à la ville, elle est victime des représailles de la bataille de Buzenval- Montretout de janvier 1871.

Malgré la signature de l’armistice le 28 janvier 1871, les troupes prussiennes font preuve d’acharnement, entre le 23 janvier et le 2 février, en incendiant toute la localité de Saint-Cloud. Vingt-trois maisons seulement échappent au désastre. Il ne reste plus de la ville qu’un immense amoncellement de décombres au milieu duquel surgit l’église, restée intacte. Lorsque vous continuerez ce parcours, vous passerez par les rues de Buzenval et de la Redoute.

Ces deux rues ont également été baptisées ainsi en souvenir des combats de Buzenval-Montretout qui se sont déroulés le 19 janvier 1871. La redoute de Montretout était une fortification élevée à cet endroit en 1870 par les Français mais très vite occupée par les Prussiens. Sur le point de perdre la guerre et sous la pression du gouvernement et des Parisiens, l’armée française tente une dernière offensive en attaquant les Prussiens sur le plateau de Buzenval.

Un des objectifs est de récupérer la redoute. La bataille de Buzenval est finalement un échec qui aboutit à la négociation et à la signature de l’armistice.

Reprenez le boulevard de la République jusqu’au n°108.

Collège Emile Verhaeren

Le collège Émile-Verhaeren est installé dans une ancienne maison bourgeoise qui a été construite vers 1890 par Geneviève David-Mennet (1820-1901) dont la famille a fait fortune grâce à une affaire de coton et de commerce. Elle habite cette demeure à partir de 1895 avec sa fille Marie, l’épouse de Jules Adhémar, et son fils Arthur, gérant de l’affaire familiale de textile. Ils ne se rendent dans cette villa que l’été, de mai à octobre. Au sous-sol se trouvaient deux cuisines. Le rez-de-chaussée était réservé aux deux salles à manger, au salon et à une salle de billard.

L’entrée se faisait sur un grand vestibule qui permet encore aujourd’hui l’accès à un immense escalier en fer forgé. Le premier étage accueillait deux appartements, tandis que le deuxième étage abritait des chambres, une cuisine, une salle à manger, une salle de jeux et un cabinet de toilette. Le troisième niveau était conçu pour recevoir les chambres d’amis et des domestiques mais aussi les trois salles de bain.

Pour pallier les difficultés d’approvisionnement en eau, la famille fait construire un pavillon dans lequel est installé un réservoir. Ce petit bâtiment existe toujours, il est destiné aujourd’hui aux activités du soutien scolaire.

La demeure était agrémentée d’un somptueux jardin de deux hectares. Le cèdre, devenu majestueux, existe toujours. Il y avait également un très grand massif de rosiers avec au centre un bananier, un jardin japonais, un terrain de tennis (à l’emplacement du gymnase actuel) et pour les enfants des petites maisons de bois. Cette propriété reste dans la famille jusqu’à la mort de Louise Maigret en 1934.

En 1936, la municipalité de Saint-Cloud, présidée par Charles Blum (1935-1941), acquiert la demeure pour y installer un lycée de garçons souhaité depuis 1925, une annexe du lycée Hoche de Versailles. Il est inauguré le 26 septembre 1936. Le lycée de garçons prend le nom d’Émile- Verhaeren en 1968.

En 1970, dans le cadre de la séparation du premier et du second cycles du secondaire et de la mixité des établissements, le lycée de garçons Émile-Verhaeren devient collège mixte, tout comme le lycée de filles Florent-Schmitt situé à proximité (aujourd’hui lycée Alexandre-Dumas), construit sur la propriété de Georges Leygues (1856-1933) dans les années 1950.

Continuez sur le boulevard de la République puis tournez à gauche sur la rue de Buzenval. 200 mètres plus loin, prenez sur la gauche la rue de la Redoute. Au bout de la rue, tournez à droite sur l’avenue du Maréchal-Foch jusqu’à l’église Stella Matutina qui domine la place.

Stella Matutina

Dans les années 1950, le plateau de Montretout s’urbanise et se développe. Les habitants de ce quartier excentré, considérant l’église Saint-Clodoald trop éloignée, se rassemblent le dimanche dans les locaux de l’école Saint-Joseph. Ainsi, le chanoine Henri Collin, curé de Saint-Cloud, et monseigneur Alexandre Renard, évêque de Versailles, décident de construire une nouvelle église dans ce quartier.

En 1958, le Conseil municipal concède à l’Association diocésaine un bail de quatre-vingt-dix-neuf ans pour réaliser ce projet. Le terrain choisi, situé sur les hauteurs de Saint-Cloud, est alors occupé par un verger. En 1960, après un concours bénévole, le projet présenté par les architectes Alain Bourbonnais (1925-1988) et Thierry Bouts est retenu. La première pierre est posée le 1er juin 1962 et le 3 avril 1965, monseigneur Renard bénit la nouvelle église nommée Stella Matutina en hommage à la Vierge Marie, étoile du matin dans la litanie des Saints.

L’église symbolise le renouveau de l’architecture religieuse. À partir des années 1960, les architectes s’éloignent de la grandeur austère des édifices du XIXe siècle pour proposer des innovations, tout en veillant au respect des normes liturgiques. La forme de croix romaine, avec nef et transept, est abandonnée, au profit d’un volume unique telle une tente dressée à un carrefour.

La charpente complexe de bois lamellé-collé et de poutres détermine la forme en étoile à cinq branches du toit. Pour la réaliser, les architectes font appel au charpentier Raoul Vergez, compagnon du Tour de France, qui assemble neuf poutres de sapin de Norvège longues de près de 33 mètres. La charpente soutient une couverture métallique composée de grandes plaques de cuivre soudées. La poutre centrale qui porte l’auvent part d’une seule pièce rejoindre la clef de voûte en bois, véritable exploit technique qui symbolise également l’invitation de chacun à rejoindre le choeur de l’église.

Afin de respecter la condition de luminosité imposée par le concours, les architectes décorent l’espace offert entre les poutres par de grandes verrières aux motifs géométriques et aux couleurs vives : 423 mètres carrés de vitraux, réalisés par le maître-verrier Léon (dit Claude) Blanchet, laissent pénétrer la lumière. Contrastant avec le bleu et le jaune de la verrière de la façade, le rouge des baies orientales et de celles situées dans les ailes du toit environne l’autel d’une chaude intensité lumineuse. Au mois de janvier 2017, l’édifice reçoit le label « Patrimoine du XXe siècle ».

Continuez l’avenue du Maréchal-Foch jusqu’au n°114.

Cimetiere

Autrefois situé à l’emplacement de l’église Saint-Clodoald, le cimetière est transféré, en 1790, le long de la route de Normandie, qui correspond aujourd’hui au début de la rue Gounod. Malgré son agrandissement en 1839, le manque de place devient un problème majeur. En 1875, le maire fait part au Conseil municipal qu’il est « urgent de mettre le nouveau cimetière en état de recevoir des inhumations que le cimetière actuel ne pourra bientôt plus recevoir ». Ce cimetière, fermé par arrêté municipal à partir du 1er novembre 1876, est donc une nouvelle fois déplacé avenue du Maréchal- Foch (alors nommée rue de la Guette). Aujourd’hui, le cimetière de Saint-Cloud abrite plus de 5 000 sépultures, dont de nombreuses personnalités clodoaldiennes telles que les peintres Gaston La Touche (1854-1913), Édouard Dantan (1848- 1897), ou encore les familles Debat, Belmontet et Coutureau. En cheminant à travers les allées, vous remarquerez quelques sépultures de personnages remarquables (À retrouver dans le fascicule).

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